C’est ce qui ressort d’une étude physiologique menée par Erasmus Universiteit en collaboration avec Magazines.nl. à l’aide d’électroencéphalogrammes, les chercheurs ont mesuré la réaction cérébrale à une série de publicités. Après 0,3 seconde déjà , on est à même de distinguer les bonnes des mauvaises annonces. Au total, 150 annonces ont été soumises, réparties sur 5 catégories de produits : automobile, cosmétiques, mode, alimentation et électronique.
Pour plus de résultats de l’étude, lisez (en néerlandais) : ‘De breinrespons op magazine ads’