2. Vidéo. Avec l’essor du mobile, la vidéo en ligne s’est elle aussi fortement manifestée ces dernières années. La vidéo s’est muée en le moyen le plus puissant et le plus rapide pour diffuser des contenus au sein d’un large public et de les coupler à des possibilités publicitaires. En outre, cette méthode est particulièrement accessible pour les éditeurs, notamment pour ceux qui ne disposent pas de gros budgets. La vidéo pourrait bien être une des manières les plus faciles pour de générer du chiffre sur le marché digital. Selon IAB, le volume d’annonces dans les vidéos digitales augmente chaque année de plus de 20% sur le marché magazines américain.
3. Bourses d’annonces. Au sein du modèle publicitaire numérique, l’impact de techniques telles que le ‘real-time bidding’ et les ‘ad exchanges’ est important. Soudain, cela devient une autre manière pour acheter et programmer une partie de l’espace publicitaire. Une aubaine ou une menace pour les éditeurs ? De toute façon, ce sera un challenge étant donné que les prévisions prévoient que pour 2017 une grande partie du programmatic buying se situera dans les grands pays européens enytre 35% et 60%.
4. Big data. Une des conséquences majeures de l’édition numérique est l’influx supplémentaire de données permettant une analyse approfondie, en vue de nourrir les prises de décisions autour de la diffusion d’information et la politique publicitaire. Chaque décision ne doit pas reposer sur du data, mais il serait tout aussi illogique d’ignorer les données. « The data informs what we do, it doesn’t rule what we do » nous confie Lewis D’Vorkin de Forbes.
5. Publicité native. Les annonces adoptant le look & feel de contenus non-commerciaux gagnent en importance, tout en modifiant la relation entre les médias, les annonceurs et les lecteurs/téléspectateurs. S’agit-il ici de nouvelles formes d’éditorials comme on les connait depuis longtemps chez les magazine ? Bientôt, nous vous proposerons sur www.magazinemedia.be un dossier plus fourni qui creusera cette « tendance ».