Le NAI en est à sa deuxième édition du guide. Comparé à l’an dernier, 130 vendeurs et 15 catégories (pour 26 au total) sont venus s’ajouter. Tous les vendeurs n’apparaissent qu’une seule fois dans le paysage, dans la catégorie représentant leur activité principale, mais pourraient parfois aussi figurer dans 6 catégories différentes. En évitant cela et en opérant des choix argumentés explicitement dans l’e-book, le NAI a privilégié la clarté.
Découvrez ici : Publicité native : les 10 cases magazine belges les plus remarquables en 2017
Les 26 catégories se répartissent en quatre domaines :
- type de contenu (p. ex. vidéo),
- canal (p. ex. médias sociaux),
- mesure/data (p. ex. analytics) et
- habilitation (p. ex. gestion de contenu).
L’e-book a aussi ceci de pratique qu’il contient des définitions des abréviations principales et autres termes clés utilisés, en vue d’éviter toute confusion. Le chapitre bonus sur les meilleures pratiques en programmatique et les cases vaut aussi la peine d’être parcouru.
On s’attend à ce que les dépenses globales en matière de publicité native ne cesseront d’augmenter et que le nombre de proposants aussi continuera à croître, même s’il y aura aussi davantage d’acquisitions et de consolidations. En tout cas, le NAI a d’ores et déjà lancé les préparatifs pour l’édition 2019.
Envie de lire plus ?